Extrait du journal du sergent Mike :
"-Nous sommes dans la zone alpha1, arrivée estimée dans huit minutes, Louveteau, terminé.
Nous nous trouvons dans le désert du Shinrou, en Chine. La guerre fait rage depuis déjà assez longtemps, et les hommes qui ont été envoyés au front n'ont toujours pas eux de permissions. Nous ne sommes pas dans la guerre aussi violente et sanglante que celle des Tranchées, en mille-neuf-cent-quatorze, mais plutôt dans une guerre stratégique, où il est plus question de pilloner certaines zones à coups de mortier que d'envoyer les hommes à la mort. Nous sommes tous épuisés en ce jour de décembre deux-mille-quatre. Le désert dans lequel nous nous trouvons est plutôt étrange; en hiver, la température atteint les moins quarante alors qu'elle avoisine les soixante en été. Pour le moment, nous attendons le signal pour charger, nous sommes tous recroquevillés dans le bunker ou ce qu'il en reste....
Nous avons entendus un sifflement, puis tout le monde se leva et chargea. Mais contrairement à ce que nous croyions, il n'y avait personne dans l'endroit où les ennemis auraient dûs se trouver. Soudain, il y eut un bruit très violent, puis plusieurs hommes s'écroulèrent par terre en hurlant : -ça me brûle la gorge, ça me brûle la gorge !!!. Ils nous tiraient dessus avec des bombes à gaz. J'eut le temps d'enfiler mon masque à gaz, mais beaucoup d'autres n'eurent pas cette chance...
Nous nous repliâmes dans nos fortifications, puis un rappel général de notre régiment fût ordonné. Le bilan du bombardement : seize morts et une vingtaine de blessés en incapacité de continuer. On nous amena à des hélicopère de transports. Avant d'embarquer, on nous expliqua la mission, ce fût le sergent Gare qui s'en occupa :
-La mission est simple; nous avons découvert où se sont enfuis les ennemis; ils se troueraient dans un petit village à quelques bornes plus au nord. L'objectif de la mission ? Tuer toute forme de vie dans le village; il se pourrait que le chef terroriste Xao Tsin se trouve dans ce village."
Extrait du journal du sergent Donnut:
-"On nous a prévenus que nous allions épauler le peloton du sergent Gare, mais nous ne pensions pas que l'offensive serait d'une telle ampleur; nous étions là, à marcher, quatre-cent hommes qui avançaient dans le désert, ce n'est pas très banal. Nous nous sommes tous arrétés, et on nous as demandés de mettre nos masqies à oxygènes, de vérifier le nombres de chargeurs à notre ceinture, on nous a fait nettoyer nos armes, puis on nous a mis tous au garde-à-vous. Le sergent Trikk du 1er peloton marchait devant nous, au pas. Il a dit à ce moment là : "Soldats, ce que vous allez voir là bas va être un des affrontements les plus violents que vous aurez à faire de votre histoire; vous allez combattre des hordes de Chinois armés de katanas, donc si vous en voyez un, chargez avec votre baïonette ou avec votre couteau et ne pensez à rien. Nous partons dans deux heures, rompez.
Deux heures plus tard, on nous a réveillés, puis tout le monde c'est levé, et nous avons marchés pendant trentes minutes jusqu'au village à charger. Là bas, on devait attendre que les bombardiers aient finis leur boulot, détruire les nids de mitrailleuses sur les falaises.
On a en attendant creusés des tranchées pour pouvoir s'y abriter en cas de problème. Il ne restait plus que dix minutes avant l'assaut. Tous les hommes étaient tendus. Puis soudain, il y a eu le sillfet de départ, puis nous avons chargés... "
"Le premier peloton devait attaquer l'autre côté du village pour que nous puissons prendre l'ennemi à revers. Nous nous sommes préparés, nous avons mis nos gilets pares-balles, armés nos M-16A1, puis nous avons accrochés notre baïonnette au bout de nos armes. Nous avons attendus la fin du bombardement, puis nous avons entendus un sifflet de l'autre côté du village. Nous voyions le village entier de la colline sur laquelle nous étions. Il était composé d'une cinquantaine de maison, surplombées par six grosses tours au centre. Xao-Shin devait se trouver dans une de ces tours. Après le sifflet, nous avons courus, puis nous sommes entrés dans le village. Nous tirions sur tout ce qui bougeait, vu que les ennemis présents n'étaient pas civils. Il y avait un corps à corps dans une petite rue très étroite, je m'y suis engagé, puis soudainement, nous avons entendus une bruit comme celui d'une bombe, puis un autre. Soudain, il y eut une énorme eplosion à côté de moi, et je fut propuslé à plus de dix mètres plus loin. Nos propres alliés nous bombardait pour abréger la bataille ! Je me mis à l'abris avec cinq de mes camarades dans une petite maison pendant que les bombes pleuvaient. Nous sommes sortis quelques minutes après, le spectacle était pluôt bizarre; des cratères jonchaient le sol, tandis qu'un nouveau flot d'alliés c'étaient joins à nous. On nous donna rapidement de nouvelles instructions; nous devions vite rejoindre un char à l'autre bout de la ville, puis nous devions prendre d'assaut la tour quatre, un peu plus loin que le char. Nous avons traversés le village en triple vitesse, puis nous avons rejoins le char. Nous devions maintenant nous rendre dans la tour un peu à l'est, ou ce qu'il en restait. Nous avons pris d'assaut la tour, mais elle était complétement vide. Dans la pièce du haut, il y avait une valise. Un de mes copain c'est avancé, il a trébuché sur une corde en lyn, puis il y eut une énorme explosion. Je crus retraverser la ville en volant. A la fin, j'étais à motié mort par terre quand soudain un hélicopère de secour me récupéra, puis partit en volant en triple vitesse. Je regardais le village s'éloigner à vu d'oeil quans soudain il y eut un bruit énorme, puis une explosion, puis une déflagration. Tout le village fut rasé, avec le millier d'homme qu'il comportait encore, les hélicopères de secour les plus chanceux parvinrent à s'en alller à temps, mais pour les autres, ce fut le crash. Les trois bombardiers qui étaient dans le ciel s'écrasaient sur le sol. Ce fût horrible. Je parvint à m'en tirer car l'hélicopère qui me transportait était déjà assez loin, mais on senti tout de même une bonne partie de la déflagration...
-"Je ne sais pas ce qui c'est passé, mais je me suis reveillé dans une infirmerie. Je ne sais plus comment je m'appelle, enfin les infirmiers disent que je suis le sergent Donnut. Je suis dans la même chambre que le sergent Mike. Apparamment, on va nous réafecter à la même unité, une unité d'intervention maritime, vut la multiplication des trafics de drogues maritimes en Chine....
Le sergent Mike et moi même avons été promus Lieutenant, chacun dirigeant notre unité, mais nous agirons ensemble. Mike est sympa, il est assez grand, il est blond. Il est jeune, il a vingt et un ans. Moi je sais plus quel âge j'ai, je crois que j'ai quarante douze ans, enfin bon, peu importe. Aujourd'hui est un jour spécial, on va nous présenter nos unités. Il ne devrait pas tarder à arriv... ah bah tiens ils arrivent !
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"-Bonjour Lieutenants, je suis le caporal Back, et voici les soldats premières classe Jess et Romy, le sergent Dzywgs, et les soldats secondes classes Wallorf et Steve.".
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Après les présentations, nos hommes partirent et nous laissèrent nous reposer. Le jour était beau, et Mike et moi avons décidés de faire une partie de Ping-Pong sur le balcon. Mike a servit, puis j'ai fait un revers, puis il me l'a renvoyé avec un de ces effets, je n'ai pas pu la rattraper et je suis tombé du balcon comme une merde si je puis dire. On m'a ramené dans ma chambre, et finit les parties de Ping-Pong... "